Nous, on avait bien notre Robert Fournier national, celui qui nous disait de ne pas rester les bras croisés.
Mais aujourd’hui c’est un autre Robert que je veux évoquer.
Eh oui, le marchand de sable est passé et il a eu la main lourde : moyeux bloqués, frein grippés, chaîne encrassée, notre Robert Marchand s’en est allé un week-end de Pentecôte.
Bon d’accord avec ses 109 ans, y’a pas grand-chose à redire.
Petit par sa taille, grand par son parcours.
Si les hobbits avaient eu des vélos, il aurait gagné haut la main le casting pour faire partie de la Communauté de l’Anneau du Cyclo…
Bref, dans sa catégorie, il était imbattable et impayable.
Recordman du monde de l’heure, quand même.
Respect et chapeau mon grand…
PS :à défaut du Petit Robert, il pourrait avoir une entrée dans le grand Larousse !?